Alfredo Rodriguez Trio, c'est un mélange explosif de rythmes, d’harmonies et d’émotions

Alfredo Rodríguez, c’est le feu cubain marié à l’élégance new-yorkaise. Né à La Havane en 1985, formé au conservatoire, il maîtrise la technique classique... mais c’est en écoutant Monk et Jarrett qu’il se découvre jazzman. En 2006, sa vie bascule au Montreux Jazz Festival où Quincy Jones le repère. Trois ans plus tard, il s’exile aux États-Unis, un départ qui marque autant son histoire que sa musique.

Des disques comme Tocororo ou Coral Way racontent ce tiraillement entre deux cultures. Alfredo ne joue pas pour impressionner, il joue pour raconter. Et chaque morceau est un bout de son exil, de ses rêves, de sa vérité.

Alfredo Rodriguez au piano, Yarel Hernandez à la basse et Michael Olivera à la batterie seront en concert au Foirail vendredi 19 et samedi 20 septembre.

Découvrez un extrait de leur concert  au festival Visioninmusica 2022 de Terni, en Italie.

En août 2023, Alfredo sort Coral Way, un album lumineux et audacieux, fruit d’un virage vers les musiques urbaines tout en gardant l’âme du jazz et du folklore cubain.

On découvre un Alfredo qui ne cherche plus à séduire les puristes, mais à exprimer ce qui bruisse en lui : les sons de sa jeunesse à La Havane, les rues de Miami, le tumulte intérieur d’un artiste en mutation.

Ses concerts en 2024 confirment la puissance de Coral Way en live . Il enchaîne les salles mythiques, de New York à Paris, porté par une énergie électrique.

Pour 2025, aucun album n’est encore paru à ce jour. Mais les attentes sont fortes. Les regards se tournent vers ce qu’il pourrait faire ensuite.

Critique du 14 septembre 2023 dans Le Monde : "Avec Coral Way, Rodríguez brouille les lignes entre reggaetón, timba et jazz moderne. Une fontaine d’énergie et d’intuition."

Jazz Magazine d'octobre 2023 : "Il joue avec la fougue d’un boxeur et la finesse d’un poète. Le concert à Marciac était un uppercut."

Sur la radio TSF Jazz, lors du concert du 18 janvier 2024 : « Au Blue Note, sa main gauche ancre des grooves impeccables, pendant que sa droite part cueillir des constellations. Une maîtrise bluffante. »

Télérama du 22 mai 2024 : « Rodríguez est passé maître dans l’art du contraste : doux-amer, complexe-simple, classique-futuriste. Il s’ouvre enfin pleinement. »