Concert de Not Scientists

NOT SCIENTISTS
Les Not Scientists sont de retour avec "Voices" un album lumineux. Un disque dans lequel la chaleur des guitares éclabousse la froideur des machines, tandis que la flamboyance des couplets rythme l’impertinence des mélodies et la clairvoyance des refrains remis au goût du jour.
Voices est aussi un album qui fait part belle aux expérimentations en tout genre (la saturation de « Caught in the web », les impertinentes phrases de guitares de « End game »), assumant les sonorités rétro remises au goût du jour par des formations comme High Vis ou Death Lens (« Burnout », « I remember ») mais rappelant aux bons souvenirs de tous ceux qui les suivent depuis le début que ce groupe fait des miracles avec des guitares aux sons claires et des mélodies imparables -« Voices »- qu’on chante à tue-tête -« The city call ». Les douze travaux composant Voices de Not Scientists n’ont rien à voir avec la mythologie, ce recueil sonore spontané et rigoureux étant bien réel.
On ne change pas une équipe qui gagne, si bien qu’Ulrich Totier s’occupe une nouvelle fois des visuels dont chacun pourra se faire sa propre interprétation, et que la production des douze titres a été confiée à Santi Garcia. Ed ne tarit pas d’éloges à son propos : « Santi est en quelque sorte notre GPS humain : on lui communique nos envies et il nous guide exactement sur la bonne route. Il a su faire en sorte que le disque reflète la personnalité de chaque musicien. Et comme chaque morceau a été mixé de façon individuelle, on peut se permettre d’essayer de nouvelles choses, en revenant sur des formats chanson tout en adoptant de nouveaux sons. »
Comme à l’accoutumée, les textes sont inspirés d’histoires personnelles et de tout ce qui se passe dans le monde. Et de ce qui nous entoure aussi. La peur, l’échec, l’espoir, chacun pourra se faire une idée de la société dans laquelle on vit et ce que l’on veut bien en faire.

THIS WILL DESTROY YOUR EARS
“FUNLAND”, le troisième album est le premier entièrement enregistré chez Recording United, leur propre studio situé dans les Landes.
Inspiré de leurs virées anglaises, et en particulier de Blackpool — station balnéaire en Technicolor délavé —le disque tire son nom d’un parc d’attractions à la dérive : un mix improbable mais magique de machines à sous mourantes, de clowns tristes et de néons blafards. Une carte postale de cauchemar pop, quelque part entre David Lynch et Stephen King.
Produit et mixé par Ben Hampson (DITZ, Lambrini Girls), masterisé par Katie Tavini (Bloc Party, Los Bitchos), FUNLAND sortira le 10 octobre 2025 chez Luik Music (BE), À Tant Rêver Du Roi (FR), Cowboy À La Mode et Conicle Records (en K7, évidemment).